"La suppression de la propriété privée... suppose, enfin, un processus universel d’appropriation qui repose nécessairement sur l’union universelle du prolétariat : elle suppose « une union obligatoirement universelle à son tour, de par le caractère du prolétariat lui-même » et une « révolution qui (...) développera le caractère universel du prolétariat ».
Marx (L'idéologie allemande)

«Devant le déchaînement du mal, les hommes, ne sachant que devenir,
cessèrent de respecter la loi divine ou humaine. »

Thucydide

vendredi 23 janvier 2009


OBAMA A TENU UN DISCOURS
DE GUERRE

Extraits: "Notre nation est en guerre" (...) "Le temps est venu de réaffirmer notre caractère". Après avoir exalté le "travail" des esclaves et des travailleurs (ce sont les mêmes...), Obama a prétendu que "la tâche est de refonder l'Amérique", comme notre blaireau présidentiel avait promis de "refonder le capitalisme". Le final du discours est un salut aux soldats du "désert", et zoom sur les trouffions en rang d'oignons lors de la cérémonie et: "que Dieu vous bénisse et bénisse l'Amérique!" Amen! Le prêcheur assermenté a tenu le discours nationaliste que la bourgeoisie blanche attendait de lui. Ne reste plus qu'à passer aux actes. Reste à savoir si les soldats, même bénis, voudront continuer à aller mourir pour Wall street et les puits de pétrole.
(le dessin ci-contre est repiqué à Marianne)

Barack Obama a engagé les hostilités (pour l’instant seulement politiques), assurant soupçonner la Chine de "manipuler" les cours du yuan, a déclaré jeudi le secrétaire au Trésor choisi par le président américain, Timothy Geithner, utilisant un terme que l'administration Bush avait soigneusement évité pendant des années. La politique monétaire et commerciale de la Chine est régulièrement accusée de nuire à l'emploi aux Etats-Unis et de creuser le déficit commercial américain vis-à-vis de Pékin, qui a atteint la somme record de 256,3 milliards de dollars en 2007. Le secrétariat au Trésor de l'administration Bush avait exhorté Pékin à adopter un taux déterminé par le marché, mais s'était toujours refusé à accuser publiquement la Chine de manipuler les cours du yuan pour éviter de froisser un partenaire important sur les questions diplomatiques et économiques. Avec Obama "yes we can"!



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